Communautés

Ashaiman St François deSales

Abidjan

La communauté salésienne d’Abidjan est la benjamine des présences salésiennes en Côte d’Ivoire. Quelques années après l’installation des salésiens à Duékoué et à Korhogo, en 1990, Mgr Joseph Akichi nous a offert la possibilité de travailler dans son diocèse de Grand Bassam, dans le quartier populaire de Koumassi, avec un grand pourcentage d’immigrés venant de la sous-région, et avec une forte majorité de jeunes.

Les salésiens ont accepté la communauté chrétienne de saint François d’Assise qui avait une confortable église appartenant à la paroisse franciscaine, mais qui manquait de tout autre service, avec l’espérance de pouvoir se dédier aux jeunes. Il a fallu se débrouiller pour trouver des espaces dans un quartier qui avait été occupé par la population d’une façon massive.

La première communauté fut fondée par les Pères Luis Maria Oliveras et François Balauder, arrivés de Korhogo, et le Père Enrique Franco venant de Barcelone. Les années suivantes, le Frère Ventra et les Pères Xec Marques, Rafael Sabe et Josep Maria Timoneda ont renforcé la présence et assuré la relève.

L’œuvre d’Abidjan s’est vite diversifiée avec un secteur dédié à la quasi-province AFO, dont le Père Oliveras a été le premier Délégué Provincial et plus tard premier Provincial (1998), et les différents services offerts aux chrétiens et à la jeunesse, avec des locaux paroissiaux, un Centre des Jeunes, le Foyer des enfants en situations difficiles montrant ainsi une claire option pour l’évangélisation et la jeunesse.

Aujourd’hui, la Communauté salésienne d’Abidjan intervient dans trois secteurs d’activité que sont :

• La Paroisse Saint François d’Assise
• Le Centre de Jeunes « Village Don Bosco »
• Le Foyer Don Bosco

Ashaiman St Zatti

Bo

Cinkassé

La communauté salésienne de Duékoué a été créée en 1981 par la province salésienne de Barcelone, en Espagne. Ils ont été appelés par Mgr Bernard Agré, évêque de Man à l’époque, et ils se sont installés dans la mission catholique de Duékoué, fondée en 1940 par les SMA, qui l’ont gérée jusqu’en 1981.

Les salésiens ont assumé la paroisse et ils ont développé d’autres activités typiques de notre charisme : le Centre Professionnel Artisanal et Rural (CPAR), l’Oratorio et le Foyer. Peu de temps après sont venues les sœurs salésiennes qui ont créé aussi un foyer et qui ont collaboré étroitement au CPAR, dans les différentes activités de la paroisse et à l’Oratorio.

Les œuvres de la Communauté

Actuellement notre présence est constituée de cinq noyaux de service pastoral :

• La Paroisse Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus
• Le Centre Professionnel Artisanal et Rural – CPAR
• Le Foyer Saint Jean Bosco
• L’Oratorio
• Les activités agricoles

Duékoué

La communauté salésienne de Duékoué a été créée en 1981 par la province salésienne de Barcelone, en Espagne. Ils ont été appelés par Mgr Bernard Agré, évêque de Man à l’époque, et ils se sont installés dans la mission catholique de Duékoué, fondée en 1940 par les SMA, qui l’ont gérée jusqu’en 1981.

Les salésiens ont assumé la paroisse et ils ont développé d’autres activités typiques de notre charisme : le Centre Professionnel Artisanal et Rural (CPAR), l’Oratorio et le Foyer. Peu de temps après sont venues les sœurs salésiennes qui ont créé aussi un foyer et qui ont collaboré étroitement au CPAR, dans les différentes activités de la paroisse et à l’Oratorio.

Les œuvres de la Communauté

Actuellement notre présence est constituée de cinq noyaux de service pastoral :

• La Paroisse Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus
• Le Centre Professionnel Artisanal et Rural – CPAR
• Le Foyer Saint Jean Bosco
• L’Oratorio
• Les activités agricoles

Freetown

Gbodjomé

Un peu d’histoire…

Le 29 octobre 1994, la communauté « Bienheureux Philippe Rinaldi » du noviciat rattachée à celle du scolasticat, quitte Lomé à pied vers Gbodjomé située à 22 km. Elle a été fondée par les pères César Antonio Fernandez (premier directeur et maitre des novices), Antoine Tanguy et le frère Jean Louis Fomba, accompagnés de 17 novices provenant des provinces AFO (Afrique Francophone Occidentale) et ATE (Afrique Tropicale Equatoriale). Cette communauté a connu la succession des pères César, Jean-Jo, Emilio, Faustino, José Elegbédé, Paul Wogomebou, Emmanuel Thera et Fabrice Aziawo comme directeur et maître des novices. Elle note aussi la perte de certains membres à savoir le novice Lucien Balamou et le frère Fidèle Thuadi qui y sont inhumés.

Aujourd’hui…

La communauté Salésienne « Bienheureux Philippe Rinaldi » est à Gbodjomé (village situé à 22 km de Lomé sur l’axe Lomé-Cotonou) et accueille les jeunes qui aspirent à devenir salésien. Après la phase du prénoviciat, les jeunes admis au noviciat font une expérience d’une année entière au cours de laquelle, ils discernent avec l’aide des formateurs leurs motivations religieuses. En plus des novices de notre province, le noviciat de Gbodjomé accueille aussi les novices de la province AON (Bénin-Burkina Faso-Gambie-Guinée-Mali et Sénégal).

L’œuvre de la communauté comprend :

• Le noviciat
• La paroisse St Matthieu de Gbodjomé
• La maison de spiritualité
• L’oratoire-centre de jeunes
• La ferme

Kara

L’œuvre de Kara est née en réponse à la demande de l’évêque de Sokodé, Mgr Chrétien Matawo Bakpessi. Le 30 septembre 1985, les Pères José Antonio Rodriguez (Directeur), Marcos Santos et Juan Melgar forment la première communauté. En attendant de trouver un logement propre à eux et aussi pour mieux étudier le milieu afin d’identifier les vraies réponses à apporter, ils sont hébergés pendant 2 ans à la paroisse saint Pierre et Paul (actuelle Cathédrale du diocèse de Kara) dirigée par le père Adjola, Curé d’alors.

Après réflexion et étude du milieu, la communauté prend comme première intension pastorale de donner un abri et un métier à tant de jeunes et d’enfants qui étaient dans la rue autour de la gare routière ou du marché, sans logement ni emploi. Ceci les amena à construire un foyer pour accueillir les enfants abandonnés dans la rue, et ensuite à leur offrir une formation qui leur permettraient de s’insérer dans la société. De petits ateliers furent alors construits. Vu le nombre grandissant des enfants, un centre professionnel fut ouvert après l’obtention d’un terrain à Kara-sud, précisément à Kpélèwaï. Très tôt, Don Bosco sera connu partout dans la ville vu son succès. Avec la poussée charismatique de l’infatigable José Antonio, les œuvres se sont multipliées partout dans la ville et les villages. Toutes les œuvres à destination des jeunes démunis sont réunies au sein de l’Association Don Bosco pour la Promotion des Jeunes du Togo née à Kara en 1986, avec la collaboration du gouvernement et de quelques ONG.

Aujourd’hui, l’œuvre de la Communauté comprend :

• La paroisse st Jean Bosco
• Le Foyer pour les enfants en situation difficile
• Le Collège Don Bosco
• Le Centre de formation professionnelle
• Le foyer pour les élèves
• L’aumônerie universitaire
• Un dispensaire
• L’oratoire

Korhogo

En 1982, Mgr Auguste Noubou évêque de Korhogo, a trouvé chez les salésiens les agents pastoraux adéquats afin d’assurer une nouvelle paroisse qui venait d’être créée avec toutes les difficultés d’une nouvelle présence chrétienne et avec toutes les possibilités de « l’enfant » qui vient de naître.

Mgr Noubou voulait aussi compléter la présence de l’enseignement catholique dans le diocèse avec un lycée de deuxième degré. Le Pères Luis Maria Oliveras et Juan Ochogavia, et le diacre   Orlando Gonzalez, ont intégré le premier envoi de missionnaires à Korhogo. Quelques temps après, François, Manel Puyol, Vinvent Ferri et Rafael Sabe ont assuré la relève. C’est le Père Manel qui, par la semence de sa vie, a assuré l’élan de l’œuvre salésienne.

Duékoué et Korhogo avaient leur noyau dans la ville comme centre d’irradiation vers les autres centres de brousse où il fallait aussi évangéliser (Duékoué assurait l’animation de plus de 60 stations missionnaires).

Très vite, la mission a grandi, ce qui a entraîné la mise sur pied de nouvelles structures et l’ouverture d’autres secteurs pastoraux ; construction des églises de Duékoué et de Korhogo, de Centre des Jeunes, de Centre Professionnel à Duékoué, de Collège à Korhogo, de Foyers, de Centres de Formation des catéchistes, de dispensaires, etc.

Aujourd’hui, l’œuvre de la communauté comprend :

• La paroisse saint Jean Bosco
• Le collège Don Bosco
• Les foyers pour élèves et l’oratoire
• La ferme de Kafigué

Lomé St. D. Savio

La présence salésienne Saint Dominique Savio, a été créée en 2015 et est dépendante de la maison provinciale AFO. Elle est située dans le quartier Akodessewa, l’un des quartiers les plus peuplés de Lomé localisé dans la zone portuaire avec une population infantile et juvénile majoritaire. Plus précisément, elle est située sur le boulevard Mobutu Sesse Séko non loin de l’Hôtel Sarakawa.

Pour histoire, cette présence était rattachée à la Communauté salésienne de la Paroisse Maria Auxiliadora de Gbenyedzi. Dans les débuts de création de l’œuvre salésienne à Lomé, les Salésiens présents sur la paroisse, après des contacts avec la réalité du milieu, ont associé l’évangélisation à l’oratorio ; aussi virent-ils la nécessité de donner une formation professionnelle aux Jeunes. Mais vu l’affluence des jeunes et vu que la paroisse n’était plus adaptée aux ateliers, il fallait chercher un autre espace. C’est ce qui va conduire à la construction du Centre d’Apprentissage Marie Auxiliatrice (CAMA). Des cours de formation en Secrétariat Bureautique et une salle d’Internet font partie des services qu’offre le CAMA à la jeunesse togolaise. Pour favoriser une action pastorale plus renforcée, il a été créé une présence stable de confrères au sein du CFTP-MA.

LE CFTP-MA

Créé en septembre 1989 sous l’appellation « Centre d’Apprentissage Maria Auxiliadora » (CAMA), le Centre a commencé avec deux filières : Electricité et Menuiserie. De 1990 à 1991, deux nouvelles filières se sont ajoutées : le froid et la construction métallique. Puis une année plus tard, en avril 1992, le Centre obtient l’agrément officiel du Ministère. Il s’agrandit en 1996 avec l’ouverture de la nouvelle filière de Couture ; en 2011 avec la filière de maintenance informatique et en 2018 la filière électrotechnique en BT. Malheureusement par manque d’effectif, de 1998 à 2000, le Centre perd les deux filières de froid et de couture.

Actuellement, la formation est dispensée dans les 4 filières suivantes :

– Electricité qui prépare au CFA, CAP et au BT

– Electrotechnique : qui prépare au BT

– Construction métallique : qui prépare au CAP

– Maintenance informatique : qui prépare au BT.

La filière de menuiserie est transformée en atelier de production.

Avec l’évolution de la formation, le CAMA est passé au statut de Centre professionnel prenant le nom de Centre de Formation Technique Professionnelle Maria Auxiliadora (CFTP-MA).

Le CFTP-MA a pour objectif de donner aux jeunes une formation intégrale (technique, professionnelle, socioculturelle, humaine et chrétienne) et promouvoir leur insertion sociale.

Le Centre dispose d’un Bureau d’orientation et d’insertion socio-professionnelles ainsi que d’un Foyer d’accueil des élèves.

LE CENTRE DES JEUNES

Le Centre des Jeunes Don Bosco est situé dans le même quartier (Akodesséwa). Le Centre des Jeunes regroupe les jeunes garçons et filles et leur offre un espace de jeux composé de football, basketball et handball et aussi des activités culturelles comme la danse, le théâtre. Le but du Centre des jeunes Don Bosco est de former des jeunes de manière à répondre à une formation intégrale dans leur vie pouvant les rendre plus stables à travers un engagement humain et religieux sérieux dans l’Eglise et la société.

Lomé-MDB

La communauté Salésienne Saint Jean Bosco de Lomé Akodessewa, connue sous le nom « Maison Don Bosco », accueille les Salésiens qui viennent de faire la première profession religieuse. C’est une « phase de maturation religieuse qui continue l’expérience de formation du noviciat et prépare le stage pratique » (Constitutions salésiennes, art. 114). Les confrères font « l’approfondissement de la vie de foi et de l’esprit de Don Bosco, ainsi qu’une préparation philosophique, pédagogique et catéchétique appropriée » (Idem). Nous l’appelons Postnoviciat, c’est-à-dire la phase qui suit le noviciat. Les Salésiens y passent trois années de formation pour se préparer pour la mission d’éducateurs-pasteurs. Pour cette année pastorale 2020-2021, la communauté compte cinquante-six salésiens (56) dont six (6) formateurs et cinquante (50) en formation. Les confrères proviennent trois provinces (Afrique Congo-Congo/ACC – Afrique Francophone Occidentale/AFO et Afrique Tropicale équatoriale/ATE et sont de 14 pays (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Centrafrique, Congo, Congo Démocratique, Côte d’Ivoire, Espagne, Gabon, Guinée-Conakry, Guinée-Équatoriale, Mali, Tchad et Togo). La Maison Don Bosco est située à Lomé dans le quartier Akodessewa sur l’avenue Mobutu Seseseko.

L’œuvre principale de la Communauté est l’Institut Supérieur Don Bosco (ISDB). C’est un établissement d’enseignement supérieur créé depuis 1988 qui a connu une évolution et aujourd’hui délivre des diplômes de licence et master reconnu par le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) en philosophie, sciences de l’éducation et communication sociale. Plusieurs congrégations et instituts religieux et de vie consacrée y envoient leurs membres et leurs aspirants. L’Institut accueille aussi des laïcs. L’ISDB offre un cadre agréable capable d’accueillir des rencontres scientifiques ou de sensibilisation et des célébrations. Pour plus d’informations sur l’ISDB, cliquer ici.

La Maison Don Bosco collabore avec certaines paroisses du Doyenné de Lomé-Est et en particulier avec la Paroisse Maria Auxiliadora de Lomé-Gbényedzi au niveau pastoral (célébration des sacrements, catéchèse, accompagnements des groupes et mouvements de la paroisse).

Lungi

Monrovia

Monrovia-Matadi

Sunyani – Jean Bosco

Lomé-Gbenyedzi

Après l’approbation du Projet Afrique, beaucoup d’évêques africains ont demandé la présence des salésiens dans leur diocèse.

Au Togo, Mgr Chrétien Bakpessi, alors évêque de Sokodé, fait appel pour la mission de Kara. Alors que tout semblait être prêt, le 24 mai 1981, Mgr Robert Dosseh, évêque de Lomé part à Séville en Espagne où il est ému par les manifestations du centenaire de présence salésienne dans ce pays. Après une prise de contact avec les provinciaux, il parvient à obtenir l’accord de venir étudier le Togo avant le début de l’expédition. Les provinces de Cordoue et Séville se chargeront de cette mission. A leur arrivée, les deux provinciaux furent bien entretenus par l’évêque qui les conduisit à Vogan où il voulait que les salésiens construisent un centre professionnel (Projet Vogan) ; mais pour les salésiens, il fallait d’abord s’installer en Ville. La ville de Lomé étant prometteuse, Mgr Bakpessi devra patienter car la décision est prise : il faut débuter par Lomé.

Le 06 avril 1982, les trois salésiens pionniers de cette mission, originaire de Cordoue et de Séville, arrivent à Lomé. Ce sont : les Pères Juan Manuel Melgar, (Directeur), Antonio César Fernandez et Lucas Camino. Pendant la construction de la maison, ils logent à Paroisse Marie Reine de Bè. L’évêque érige en paroisse la communauté de Gbényédzi, Sainte Thérèse, et lui donne le nom de Maria Auxiliadora. Partant de Bè, le 02 décembre 1981, les salésiens progresseront dans les autres milieux. Pendant l’année pastorale 1982-1983, la communauté se voit enrichie par la présence de P. José Antonio Rodriguez Bejerano qui se charge de la pastorale des Jeunes et fonde le groupe des Amis de Dominique Savio (ADS).

La Communauté salésienne de Lomé-Gbenyedzi anime la Paroisse Maria Auxiliadora qui compte trois communautés :

• Bienheureuse Laura Vicuña d’Ablogamé
• Notre Dame de l’Assomption de Dékadjévi
• Maria Auxiliadora de Gbényedzi (siège de la Paroisse)

La paroisse s’étend sur 40 km² et compte environ 10.000 fidèles. Chaque année une moyenne de 350 catéchumènes reçoivent les sacrements d’initiation.

Horaire des messes et confessions sur l’étendue la paroisse

Messes Dominicales :

• Gbényedzi : 05h 45 en Ewé ; 08h 15 en Français ; 10h 00 pour les enfants ; 17h 00 en Français
• Dékadjévi : 06h 30 et 8h 30
• Ablogamé : 06h 30 et 8h 30

Messes en semaine :

• Tous les jours à 05h 45 à Gbényedzi (N.B. mercredi, messe en français)
• Les 1ers vendredis à 6h 00 : messe votive au Sacré Cœur de Jésus sur toutes les communautés (Gbényedzi 05h 45)
• Les 24 du mois : commémoration de Marie Auxiliatrice, messe à 06h sur toutes les communautés (Gbényedzi 05h 45)

Adoration communautaire du Saint Sacrement :

• Tous les jeudis à partir de 18h 00 sur toutes les communautés.

Les confessions :

• Gbényedzi : tous les Jeudis et samedis à partir de 18h 00
• Ablogamé : 2^ème et 4^ème vendredi du mois à partir de 18h 00

Baptême des enfants (0 à 4 ans) :

• Tous les 1ers dimanches du mois à Gbényedzi dans la messe de 10h00
• A la fête patronale de chaque communauté

Mariage :

• Suivre les cours de l’école de Cana pendant une année pastorale et avoir une attestation
• Se présenter au Curé pour l’ouverture du dossier au moins trois avant la date proposée pour le mariage

Les funérailles :

• Ordinairement : du mardi au vendredi à 08h 00
• Les samedis à 08h 00 selon la disponibilité de l’église. La famille même cherche un prêtre hors de la paroisse.
• La paroisse n’organise pas de messes veillées mais peut les autoriser si la famille compte sur l’engagement personnel d’un prêtre et selon la disponibilité de l’église.

Oratorio : Gbényedzi les mercredis et vendredis de 15h00 à 17h00.

Secrétariat de la paroisse :

• Lundi: 15h00 – 18h00
• Mardi à vendredi: 7h 00 – 12h et 15h00 – 18h00
• Samedi: 7h 00 – 12h00

CONTACTS

Paroisse Maria Auxiliadora

B.P. 61167 Lomé-Bè (Togo)

(228) 97 02 59 71

e-mail: lomepma@sdbafo.org / pmalome@gmail.com

Sunyani-Srugi

Tappita

Tatalé